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“palestinisme” ≡ nazisme

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  • 13 janv. 2018
  • 26 min de lecture

Dernière mise à jour : 22 janv. 2018







Introduction :

Cet article est une réponse à tous ceux qui doutent encore des liens étroits, non seulement, entre le nazisme et l’islam, mais surtout entre “la cause palestinienne” et le nazisme. Je préviens dès maintenant, cet article sera long et très détaillé, le but de cet article étant de ne plus laisser aucune chance à la falsification de l’histoire opérée partout où l’islam a touché le monde.

La démonstration se fera en deux points, le premier consistera à prouver que tous ceux qui soutiennent “la cause palestinienne” sont, soit des nazis convaincus, soit des béotiens, inconscients et idiots utiles du néo-nazisme-islamisme. Dans le second point, nous comprendrons pourquoi toute personne se situant géo-civilisationnellement en Occident ou en Israël qui prononce ou écrit les termes “palestine”ou “palestiniens” se suicide d’un point de vue civilisationnel, et dénigre complètement les fondements mêmes de sa civilisation, ce qui équivaut à un suicide.


première partie :

L’islamophilie et la “palestinophilie” d’Hitler et vice versa

“Dans le nazisme comme dans le fascisme, il existait un fort courant favorable à l’islam et à sa “culture”, raconte Stefano Fabei, Hitler lui-même partageait cette opinion. Les versets du coran prônant la soumission et la guerre ne pouvaient que séduire les nazis” qui, d’après le “Grand Mufti de Jérusalem”, étaient des alliés naturels de l’islam. Le 10 décembre 1943, l’agence de presse allemande Transocéan rapportait ainsi, à l’occasion des fêtes religieuses musulmanes de l’aïd el-kebir, les propos de Joachim von Ribbentrop, le ministre des Affaires étrangères du Reich, qui adressa un message conjoint au “mufti de Jérusalem” et au dirigeant irakien pro-nazis Ali al-Gaylani :

Des liens traditionnels d’amitié unissent les Allemands et le peuple arabe. Aujourd’hui plus que jamais, l’Allemagne est l’allié le plus naturel des Arabes. L’élimination dudit foyer national juif, la libération de toutes les nations arabes de l’exploitation, de l’occupation des pouvoirs occidentaux est le but inaltérable de la politique de la Grande Allemagne du plus grand Reich allemand.
Fidèle d’Adolphe Hitler, et figure du post-nazisme, Léon Degrelle, raconte en 1984 :
Hitler avait un faible, c’est certain, pour la religion mahométane. Lui, d’origine catholique qui, jeune garçon, chantait au jubé, éprouvait un grand intérêt pour l’islam et sa civilisation.[...] Puisque le monde était déjà condamné à l’influence juive et son sous-produit le christianisme est une chose si insipide! Il aurait mieux valu que l’islam triomphe. Cette religion récompense l’héroïsme, promet aux guerriers les joies du septième ciel, Animés d’un esprit semblable, les Germains auraient conquis le monde. Ils en ont été empêché par le christianisme.

Degrelle poursuit à propos du Führer :

Hitler fait la somme des apports de l’islam [...]. Le cas d’Allah le passionnait!

Dans sa conversation du 5 juin 1942, le Führer affirme l’infériorité du christianisme par rapport à l’ islam:

Nous éprouvons une violente sensation de colère à la pensée que les Allemands ont pu s’enliser dans des doctrines théologiques privées d’une quelconque profondeur quand, sur la terre il y en a d’autres, comme celle de Confucius, de Bouddha et de Mahomet, qui à l’inquiétude religieuse offrent un aliment d’une bien autre valeur.

Dans une autre conversation, le 1 août 1942, Hitler persiste :

Les disciples de Mahomet sont, de loin, supérieurs aux prêtres, parce qu’ ils n’éprouvent pas le besoin de se figurer Allah physiquement !

Preuve du profond respect d’Hitler envers l’ islam, le 6 août 1943, il promulgua une directive garantissant à “tous les membres musulmans de la Waffen-SS et de la police le droit indiscutable, prévu par leur religion, à ne pas manger de viande de porc et à ne pas boire de boissons alcoolisées. Il faudra leur garantir des menus équivalents” . Idéologue nazi de poids, Alfred Rosenberg lui-même appelait à soutenir les musulmans et les Arabes. :

Il est donc dans l’intérêt de l’Allemagne de renforcer le monde arabe, afin qu’il serve de contrepoids à l’éventuelle montée en puissance de la juiverie internationale.

Dans l’Allemagne hitlérienne, nombre de mesures furent prises pour témoigner aux Arabes et aux musulmans toute la sympathie du nazisme : en 1933 lorsque tous les bains publics furent interdits aux peuples de “race étrangère” (Fremdrassigen), la mesure ne fut pas appliquée aux Arabes, mais aux seuls Juifs, ainsi qu’en attesta le Reich en réponse à une question posée par l’ambassade d’Egypte le 23 mai 1933. Aussi les Arabo-musulmans furent-ils traités avec différence sous l’Allemagne nazi, leur culte et leurs activités respectées. Hitler voulait édifier une nouvelle Europe judenrein, débarrassée de Juifs. Le “grand mufti de Jérusalem” al-Husseini et les leaders arabos-musulmans, qui collaborèrent avec le Reich nazi (Anouar el-Sadate, Abdel Nasser, Rachid Ali), voulaient la même chose pour le monde arabe et la Terre d’Israël sous occupation musulmane puis britannique.

Le “grand mufti de Jérusalem” au centre de l’alliance entre le croissant islamique e(s)t la croix gammée

Le “grand mufti de Jérusalem” Hadj Amine al-Husseini incarne à lui seul la convergence islamo-nazi. Né en 1893 à Jérusalem, alors occupée par les ottomans, Amine fut nommé par les Britanniques “grand mufti de Jérusalem” en 1921. Il devint un an plus tard président du Conseil musulman, l’un des pôles de reislamisation mondiale précurseur de l’OCI et appuyé pas le Pakistan, puis, en 1936, chef du Haut-Comité arabe. C’est à ce moment qu’il ambitionne de lancer avec les nazis, qui ont les mêmes ennemis hébreux-sionistes et anglais, une vaste offensive djihadiste contre les “Infidèles”, les “envahisseurs Juifs” et britanniques. Déjà, entre 1915 et 1916, il avait participé, comme mufti-officier de l’Empire ottoman, au génocide des chrétiens arméniens et assyro-chaldéens de Turquie. Cette fois-ci, il lançait un djihad contre l’Empire britannique, puis contre les Hébreux (Juifs) sionistes. Il établit alors de nombreux contacts dans le pays musulmans [tel que l’Iran, l’Afghanistan, l’Arabie saoudite, l’Irak], ou sévissait déjà des agents nazis allemands. Fort de son image de nouveau leader du monde arabo-musulman, il noue alors des liens avec Franz Von Papen, Wilhelm Melchers, Ernst Weizsäcker, Fritz Grobba et autres éminences du III e Reich. En contrepartie de la reconnaissance officielle par l’Allemagne du “droit des Arabes à construire leur unité et à contrôler l’Alyah (le retour des Hébreux sur leur terre ancestrale) en Israël sous l’occupation ottomane puis britannique, puis de la dénonciation des mandats français et britannique en Orient”, le “grand mufti” incite les dirigeants irakiens à rompre avec la Grande-Bretagne. A Bagdad, il fonde alors un comité pour la collaboration avec l’Allemagne avec le dirigeant irakien Rachid Ali Gaylani. Fort du charisme et de sa proximité avec ce dernier, al-Husseini propose à Hitler un traité d’alliance entre le Reich et l’Irak, expliquant que les nazis arabes pouvaient menacer les routes stratégiques des énergies et des communications de l’Empire britannique en Mésopotamie. Pour lui l’alliance entre le pangermanisme et le panarabisme pouvait aboutir à la victoire de l’Axe et à la réalisation du rêve panislamiste. En décembre 1940, le chef de la diplomatie du III e Reich, Joachim Von Ribbentrop, avait envoyé Otto von Henting au Moyen-Orient, afin de soutenir Gaylani, sur le point de déclarer la guerre aux Britanniques pour peu que l’Axe lui fournisse des armes. En 1938, déjà, l’Abwehr (https://fr.wikipedia.org/wiki/Abweh...) avait envoyé des cargaisons d’armes, via l’Arabie saoudite et l’Irak en juin 1940, après la victoire allemande à l’Ouest, Amine al-Husseini réécrivit à Adolphe Hitler :

Le peuple arabe attend avec confiance votre victoire finale.

Proposant d’apporter au Reich “l’épée guerrière de l’islam ”. Les hommes du “grand mufti” épaulèrent les officiers du “Carré d’or ” qui contraignirent le Parlement irakien, le 10 avril 1941, à remplacer l’émir Abdul Ilah et le Premier ministre Nuri Said Pacha, pro-britannique, à démissionner en faveur du pro-zani Chérif Charaf et de Gaylani. Le 9 mai 1941, al-Husseini déclencha en Israël occupée par les britanniques un djihad contre les soldats britanniques et les miliciens hébreux de la Haganah sous forme de fatwa radiodiffusée et précédée d’une gréve générale et d’une intifada. Ses fidèles poursuivirent les pogroms anti-juifs à Bagdad.

Dureau Yona, “la collaboration des “palestiniens” avec les nazis”, Les dossiers du lien numéro 204, mars 2003:

600 Juifs exilés en Irak furent ainsi sauvagement massacrés par des officiers en civil.

Le 28 novembre 1941, il rencontra Hitler à Berlin.



Les termes de l’accord étaient les suivants :

Une fois les armées entrées dans le Caucase, Hitler se débarrasserait de tous les juifs exilés en Europe-de-l’Est, et le “mufti” devrait quant à lui obtenir le soutient des musulmans des Balkans, et des républiques soviétiques [...]. Hitler “libérerait” les peuples arabes qui souhaiteraient leur indépendance et les aiderait à exterminer les Juifs au Moyen-Orient.

La propagande nazi en direction du monde arabo-musulman

Dès 1934, l’Allemagne mena, via l’Office de politique extérieure dirigé par Alfred Rosenberg, une activité de propagande adressée aux pays arabes du Moyen-Orient.

A ce jour, soixante volumes en arabe ont été imprimés pour être distribués dans les pays arabes, et la propagande nazie vise à exciter l’élément arabe contre les Hébreux, la France et l’Angleterre, et à préparer la révolte de l’Afrique du Nord.

Écrivait le 9 septembre 1943 le journal al-Ahram. De nombreux centres de propagande anti-juive furent ainsi fondés en Allemagne afin de former les musulmans d’Europe, notamment l’association des Jeunes Musulmans de Berlin. Des délégations arabo-islamiques furent invitées avec les honneurs au congrès du parti nazi à Nuremberg en 1936. Parmi elles, on retrouve les Chemises vertes d’Ahmed Hussein, leader de Jeunesses egyptienne (Mirs et-Fatat), le jeune Gamal Abdel Nasser, alors officier et membre des Frères musulmans, puis le nouveau Parti “national” de Fathi Redouane et Noureddine Tarraf.

Lorsqu’en 1934 les lois anti-juives furent promulguées à Nuremberg, le Führer reçut des télégrammes de félicitations de tout le monde arabo-islamique, en particulier de Husseini en Israël-occupée et du Maroc.

Radio Bari, voulue par Mussolini et créée par le compte Ciano, fut le premier émetteur européen en langue arabe couvrant l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient. En 1938 fut créé son pendant écrit le mensuel Radio Bari (Radio araba di Bari). Parallèlement, les nazis mettaient au point une série de stations radio à destination du monde musulman, émettant depuis Berlin, Munich, Stuttgart, Francfort et Zeesen. La plus célèbre, Radio Zeesen, remplit de 1939 à 1945, un rôle central dans la propagande du Reich à destination des masses musulmanes, diffusant des programmes quotidiens en arabe, en perse et en turc. La programmation de Zeesen en arabe fut dirigée par le “mufti de Jérusalem” lui-même. Le “grand mufti de Jérusalem” Haj Amine al-Husseini est l’auteur d’un pamphlet antisémite intitulé islam et judaïsme. Il déclara le 11 novembre 1942 dans son émission sur Radio Zeesen :

Si à Dieu ne plaise, l’Angleterre était victorieuse, les Juifs domineront le monde [...], mais si l’Angleterre et ses alliés sont vaincus, la question juive, qui pour nous constitue le plus grand danger, sera définitivement résolue...

En s’emparant d’un instrument susceptible de mobiliser les masses arabo-musulmanes, al-Husseini conçut une nouvelle forme de haine anti-juive inspirée en partie du nazisme, adapté au contexte islamique. Il sera l’un des tout premiers, avec les cadres des Frères musulmans et les nazis-arabes, à recycler l’antisémitisme européen dans le monde musulman, créant une nouvelle judeophobie islamique. Dans le discours qu’il prononça à la radio allemande lors de la Fête des sacrifices (‘Id al-Adha), al-Husseini déclarait :

Parmi les éternels ennemies de l’islam et des Arabes, il y a, en premier lieu , les Juifs; ceux-ci s’opposent à l’islam depuis ses débuts et afin de réaliser leur dessein d’hégémonie mondiale, ils ont déchaîné contre les peuples une guerre qui décidera de leur existence même.

Les appels des nazis et surtout du “grand mufti” en faveur des Arabes qui colonisait Israël rencontreront des échos jusqu’aux Indes en proie à la division entre hindous et musulmans, ou le leader islamiste Ali Jinnah, président de la Muslim League, à l’origine de la division des Indes et de l’indépendance du Pakistan islamique, enverra des messages de soutien au “grand mufti” (titre inventé par les britanniques afin de satisfaire les arabes qui colonisaient Israël).

Les forces islamiques du III e Reich et le recyclage de nazis en terre musulmane.

La collaboration militaire directe entre le III e Reich et des mouvances pan-islamistes, pan-arabes ou djihadistes du monde musulman a concerné principalement , sans parler des mouvements politiques et milices liés de façon moins structurelle au Reich, les divisions musulmanes de la SS; les divisions nord-africaines pro-nazies dans la LVF(https://fr.wikipedia.org/wiki/Légi...); la Phalange nord-africaine; la Légion arabe libre “Freies Arabien”






puis les Légions arabes d’Israël sous occupation arabe supervisées par Haj Amine al-Husseini. Ce dernier présida aux destinées des divisions SS musulmanes constituées autour de la Croatie du dictateur oustachi Ante Pavelic, qui englobait les contrées musulmanes de l’ex-Yougoslavie (dont l’actuelle Bosnie et le Sandjak). Henrich Himmler et le bureau central de la SS créèrent aussi avec al-Husseini, en avril 1944, la division albanaise dite Waffen SS Skanderbeg de Montagne. Lorsque les forces de l’Axe furent vaincues, le “grand mufti”, alors recherché et condamné à mort pour crime de guerre par le tribunal de Nuremberg, demanda l’asile politique aux forces françaises, au printemps 1946, il s’évada mystérieusement de sa résidence surveillée et réapparut en Egypte ou les Frères musulmans l’accueillirent triomphalement. Déjà ancienne, la collaboration entre le “grand mufti” et les Frères musulmans se confirmait en situation difficile. l’Egypte accueillit d’autres nazis allemands rescapés au Caire et de très nombreux nazis furent exfiltrés vers les USA dans le cadre de ’l’Opération Paperclip (https://fr.wikipedia.org/wiki/Opér...). Hassan Al-Banna s’impliqua personnellement pour que le “grand mufti” échappe à la potence. A l’issue d’une intense campagne de presse et de pressions exercées sur le gouvernement et la Ligue arabe, les Frères musulmans obtinrent l’asile politique en Egypte pour lui dès 1946. Depuis la banlieue du Caire, il organisa la base arrière de son mouvement terroriste, subversif, anti-sioniste, nazi, antisémite, ancêtre du Hamas, d’Al-Qaïda et de Daesh.









L’Egypte de Nasser, qui accueillit, comme la Syrie et d’autres pays arabes, de nombreux nazis historiques, ne reniera pas ses sympathies envers l’idéologie et le régime nazi allemand. Bernard Lewis précise que les nazis continuaient de voir en l’Allemagne hitlérienne un modèle, une source d’inspiration et un guide susceptible de les soutenir dans leur lute contre leurs deux ennemis jurés, l’Occident et Israël. Anouar el-Sadate, bras droit d’Abdel Nasser et futur président égyptien, fut un zélé collaborateur du Reich : durant la guerre, il avait tenté de fomenter une révolte militaire sur le Nil qui aurait apporté un appui décisif aux armées de Rommel (https://fr.wikipedia.org/wiki/Erwin...) au moment ou la guerre se déroulait en Libye.



François Genoud, le banquier du nazisme au service du monde arabe.

Si le “grand mufti de Jérusalem” Rachid Kaylani, Alija Izerbegovic et tant d’autres djihadistes arabes ou pan-islamistes se firent nationaux-socialistes, la réciproque fut également vérifiée : deux protaginistes d’envergure du nazisme embraseront l’islam ou la cause arabo-islamique, pour les mêmes raisons que Husseini le nazisme, à savoir la haine envers les Hébreux (Juifs) et les alliés anglo-saxons. Il s’agit d’abord du suisse François Genoud, le célèbre banquier du nazisme et héritier testamentaire d’Hitler lui-même, Martin Bormann,

la haute main sur les fonds secrets dissimulés en Suisse notamment, et dans des banques arabes à l’étranger par les nazis, avant la défaite de 1945.

Il utilisera le trésor de guerre du Reich pour financer dans le monde arabo-musulman les causes anti-juives et les Frères musulmans. Cet argent lui permettra aussi de créer, à Francfort, une maison d’édition spécialisée dans la publication des écrits d’Adolphe Hitler, de Goebbels et de Martin Bormann, puis révisionniste. Il éditera notamment un ouvrage posthume d’Hitler : Le Testament politique d’Hitler, à partir des propos rapportés par Martin Bormann et dont certains extraits sont explicites :

Tout l’islam vibrait à l’annonce de nos victoires [...]. Que pouvions-nous faire pour les aider [...], comme c’eut été notre intérêt et notre devoir ? La présence à nos cotés des Italiens [...] créait un malaise chez nos amis de l’islam , [et nous] a empêché de jouer nos meilleures cartes : soulever les pays opprimés par les Britanniques. Cette politique aurait suscité l’enthousiasme dans tout l’islam. C’est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres. [...] Les peuples régis par l’islam seront toujours plus proches de nous que la France, en dépit de la parenté du sang.

L’appel sera entendu par les vétérans du nazisme et des nostalgiques du III e Reich, Il inspire encore des générations de militants nazis de par le monde. Depuis la Suisse, Genoud se rapproche étroitement du pionnier des Frères musulmans en Europe et gendre de Hassan al-Banna : Saïd Ramadan, père de Tariq Ramadan. Saïd Ramadan deviendra son ami et motivera sa conversion à l’islam. En charge de la mission de confiance du transfert des fonds nazis vers des banques en cas de défaite du III e Reich, Genoud utilisa l’argent du Reich pour faciliter l’évasion des dignitaires et criminels de guerre nazis vers l’étranger, en particulier le Moyen-Orient et l’Amérique du Sud. De 1945 à 1958, près de 20,000 cadres nazis furent évacués . La plupart d’entre eux trouvèrent refuge dans la “République arabe unie” : la Syrie et l’Egypte. Des centaines de nazis rejoignirent ainsi l’Egypte entre 1948 et 1951. Ils purent mettre leur “expérience” judeophobe et nazi au service des leaders arabes et islamistes, continuant ainsi à servir, au moins en ce qui concerne les Hébreux, la cause du Führer, qui deviendra après 1967 la cause “palestinienne”. On retrouvera également d’anciens nazis allemands et collaborateurs de l’Axe en Turquie, au Liban, en Syrie, en Algérie aux cotés des organisations terroristes et nazis du FPLP ou de l’OLP (qui deviendra le Fata’h de Mahmoud Abbas).

Tous ceux-ci trouvèrent en l’islam et dans le potentiel humain représenté par l’Oumma (communauté des adeptes de l’islam ) la seule force religieuse et politique en mesure de contrecarrer l’usurocratie mondiale sortie victorieuse du conflit contre l’Axe.

commente l’idéologue pro-nazi et islamiste italien Claudio Mutti. Tant d’autres cadres nazis s’étant mis à disposition des islamiste arabes et en particulier au service des djihadistes envahisseurs d’Israël moururent de leur belle mort ou furent éliminés sur place par les agents du Mossad, dont Alois Bunner, alias Georg Fischer (https://fr.wikipedia.org/wiki/Alois...) ou les savants du Reich Prof Pilz et Hans Kleinwaechter, qui travaillaient en Egypte à la mise au point de fusées destinées à l’armée égyptienne.

Johannes von Leers, précurseur du négationnisme.

Un autre homme clé du III e Reich, exfiltré vers l’Egypte, deviendra un protagoniste central du recyclage de l’antisémitisme nazi en terre islamisée, et surtout une figure mythique qui inspire jusqu’à aujourd’hui les nostalgiques de l’alliance entre le fascisme et l’islamisme : Johannes von Leers, ancien colonel SS qui fut l’un des dirigeants du NSDAP (le parti nazi). Chargée des “affaires juives” sous Hitler, von Leers fut le collaborateur intime de Goebbels. Apres un bref exil en Argentine, il trouva refuge dans l’Egypte de Nasser. Il y fut accueilli par le “grand mufti” qui déclara dans son discours de bienvenue :

Nous vous remercions d’être venu jusqu’ici reprendre le combat contre les puissances des ténèbres incarnées par la juiverie mondiale.

Von Leers sera chargé dès 1955 d’organiser en son nouveau nom musulman : Omar Amine, Un nom que reprendront d’ailleurs plus tard des néo-musulmans néo-fascistes comme le précipité Claudio Mutti, alias Omar Amine. Johannes von Leers tissera depuis la capitale égyptienne une toile antisémite et pro-nazi dans l’ensemble du monde arabe. Il occupera au Caire de nombreux postes officiels dans les administrations de la “République arabe uni” de Nasser (RAU), dirigeant entre autres les émissions de la voix des Arabes. Dans ces programmes quotidiens également à destination de l’Amérique du Sud, de l’Europe et de l’Afrique, il recycla et islamisa les thèses du III e Reich, endossant les représentations les plus caricaturales, tel le “meurtre rituel juif” sur les enfants chrétiens, aujourd’hui banalisé chez les islamistes et les colons islamo-nazis en Israël tel que les ~2, 000,000 de musulmans qui colonisent illégalement les terres juives. Von Leers s’entoura de personnalités nazis clés : le nazi suisse George Oltramare, Daniel Perret-Gentil, ancien SS condamné à mort par contumace en France en 1948, Per Anderson, spécialiste de la propagande antisémite et imprimeur de l’edition arabe de Mein Kampf. Il demeure encore aujourd’hui une source d’inspiration majeure du négationnisme et de la vulgate judeophobe en vogue en pays chariacrates. On vit rapidement paraître en arabe un Mein Kampf traduit de l’allemand par El Hadj, alias Hei’dn, qui fit partie de l’Office centrale de la sécurité du Reich à Berlin puis une version arabe des “protocoles des Sages de Sion”, parue en 1966 au Caire et traduit par Shauqi Abd al-Nasser, frère de Nasser.

La banalisation des thèses nazies et négationnistes en terre arabo-islamique.

Apres le 8 mai 1945, le nazisme, banni d’Europe trouvera donc un second souffle dans un monde arabo-musulman d’autant plus décomplexé qu’il se pose victime du colonialisme européen, le l’impérialisme américain (alors que l’islam l’est tout autant) et du nationalisme hébraïque donc le sionisme, donc des Juifs, supposés être au centre de tout l’édifice hostile aux musulmans. Dans son rapport sur le procès en 1961 d’Adolphe Eichmann, Hannah Arendt commenta les réactions dans les médias arabes :

...Des journaux à Damas et à Beyrouth, au Caire en “Jordanie” ne cachaient pas leur sympathie pour Eichmann ou leur regret qui’il n’ait pas “fini le boulot”.

Le passé pro-nazi était une source de fierté et les criminels nazis recherchés en Europe affluèrent dans le monde islamique. Du coté des ennemis politique de Nasser, la solidarité inconditionnelle des Frères musulmans avec Haj Amine al-Husseini et leurs émeutes anti-juives quelques mois après Auschwitz montrent que les Frères musulmans ne firent aucune objection à la tentative d’Hitler d’exterminer tous les Juifs exilés en Europe. Depuis les pays arabes, les anciens nazis et leurs alliés arabes et islamistes firent publier quantité de littérature nazi, antisémite, anti-sioniste et conspirationniste. Les Frères musulmans reproduisirent même dans leurs publications et tracts les caricatures nazies de juifs tirées de la revue allemande Der Sturmer. Limitée au début,

la pénétration de l’antisémitisme de type chrétien et européen dans le monde arabo-musulman ne se développa véritablement que vers la fin des années 1950 et au début des années 1960,

explique Bernard Lewis. Les premiers classiques antisémites qui eurent du succès en millieu arabo-musulman furent , outre Meinf Kampf, le Protocol des Sages de Sion, le Talmud demasque et Le Juif du Talmud du chanoine Rohling.



lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Talmud_d%C3%A9masqu%C3%A9

Les Protocoles parurent pour la première fois en arabe le 15 janvier 1926 dans la revue Raqib Sahum . Depuis, on ne compte plus les rééditions dans les pays islamisés.

La présentation du juif comme force démoniaque va beaucoup plus loin dans les publications arabes contemporaines que dans les écrits européens, mis à part ceux de la période nazie. La majorité des écrits sur les Juifs d’hier et d’aujourd’hui n’est qu’un tissu de graves accusations, sans le moindre fondement, couchées dans un langage injurieux.

Mais c’est surtout après le tournant de 1967, après la victoire miraculeuse d’Israël durant la Guerre des Six-Jours contre : l’Egypte, la Syrie, la Jordanie et toute l’aide reçue des pays comme le Liban, l’Iran, l’Irak et les nazis du Fatah de Yasser Arafat ou du Hamas du Chekh Yassin, que l’antisionisme (et l’anti-hébraïsme) arabe s’accrut et que les thèses nazies et antisémites européennes commencèrent à être démocratisé avec la justification de “la lutte contre les juifs-sionistes”. L’action au Moyen-Orient de criminels nazis venus mettre leur expérience anti-juive au service de leur hôtes musulmans eut un impact grandement considérable. C’est en Egypte justement que la production de littérature anti-juive adressée aux musulmans fut la plus abondante. On peut citer dans une période plus ressente le parti et mouvement terroriste islamo-nazi Hamas, dominant dans la bande de Gaza occupée par les arabes (la très grande majorité des arabes qui occupent Gaza sont des égyptiens), dont la Charte fondatrice se réfère explicitement aux Protocoles des Sages de Sion :

Israël, parce qu’il est juif et a une population juive, défie l’islam et les musulmans, car la conspiration sioniste n’a pas de limites. Leur projet a été énoncé dans les Protocoles des Sages de Sion [...], les ennemis juifs complotent depuis longtemps [...] ils ont été à l’origine de la Révolution française [...], de la Première Guerre mondiale et de la Seconde, au cours de laquelle ils ont réalisé d’immenses bénéfices.

Tout aussi significatif de la judeophobie, le premier tract du Hamas distribué en janvier 1988 commençait ainsi :

Oh tout notre peuple, homme, femme. Oh nos enfants : les Juifs frères des singes, assassins des prophètes, sangsues, bellicistes, vous assassinent, vous ôtent la vie après avoir pillé votre patrie et vos maisons, seul l’islam peut briser les Juifs et détruire leurs rêves. La libération ne sera pas complète sans le sacrifice, sans le sang, sans le djihad, qui continuera jusqu’à la victoire.

Je tiens à apporter quelques citations du coran : coran chapitre 104, verset 17

Et après lui, Nous dîmes aux Enfants d’Israël: «Habitez la terre». Puis, lorsque viendra la promesse de la (vie) dernière, Nous vous ferons venir en foule.

coran, chapitre 5 verset 21 :

Ô mon peuple! Entrez dans la terre sainte qu’Allah vous a prescrite. Et ne revenez point sur vos pas(en refusant de combattre) car vous retourneriez perdants.

Donc, en réalité, le Hamas, ainsi que tout le monde musulman (nous le verrons aussi pour les occidentaux), en étant anti-sionistes et anti-juifs, entre en contradiction directe avec les fondements même de leur propre système de pensée et de leur propre civilisation.

Ainsi, Mein Kampf figurait au 6 e rang des meilleures ventes en territoire israéliens occupés par les arabo-musulmans [Gaza, la Judée et la Samarie] en 1999, et le traducteur de la version arabe, publié avec l’autorisation du mouvement terroriste islamo-nazi du chef-terroriste Mahmoud Abbas, le Fatah, rebaptisé “autorité palestinienne”, écrit dans l’introduction :

Adolphe Hitler n’appartient pas qu’au peuple allemand, c’est un des rares grands hommes qui ont pour ainsi dire arrêté le cours de l’Histoire et infléchi sa course. [...] Le National-socialisme (nazisme) n’est pas mort avec la disparition de son héraut. Au contraire sa semence, se multiplie sous les étoiles.

Pour rappel, quelques images de l’oeuvre du “beau modèle” que suivent les arabo-musulmans qui occupent les Terres israéliennes et qui sont tant chouchoutés par la communauté internationale.








Je ne suis pas désolé de vous imposer cette vision d’horreur, et si mon âme me le permettait, je vous en imposerais bien d’avantage.Voila ce que les supporteurs de “la cause palestinienne“ soutiennent en réalité. J’en profite pour rappeler que le “peuple palestinien” n’existe pas et d’en mettre ici le lien qui le démontre :

Ce recyclage de la judeophobie nazie en pays arabo-musulman aboutit à une banalisation des thèses antisémites et complotistes nazies, puis des thèses négationnistes en particulier. Les premiers écrits révisionnistes-négationnistes apparues en France dès le lendemain de la défaite allemande, notamment sous la plume du chef de file du néo-fasciste français d’alors, le directeur de la revue Défense de l’Occident, Maurice Bardeche (https://fr.wikipedia.org/wiki/Mauri...), popularisé d’ailleurs ensuite par l’ultragauche, trouvent leur source originelle dans les publications égyptiennes de Johannes von Leers, alias Omar Amine. Bardeche conçut en effet ses ouvrages négationnistes à partir de la traduction de l’allemand et de l’arabe d’un des écrits de von Leers , qu’il admirait, notamment deux pamphlets : Nuremberg ou la terre Promise, puis Nuremberg II ou le Faux monnayeur, en 1948 et en 1950. Les Juifs y sont accusés d’avoir déclenché la Seconde Guerre mondiale, idée reprise dans la Charte de l’organisation terroriste et islamo-nazi Hamas. Les thèses négationnistes de von Leers-Omar Amine seront même intégrées par Nasser qui déclara, le 1 er mai 1964, dans une interview à l’hebdomadaire allemand :

Personne ne prend au sérieux les mensonges des six millions de juifs assassinés.

Johannes von Leers, alias Omar Amine

L’idéologue majeur des Frères musulmans et des djihadistes, Sayyid Qutb, écrit au début des années 1950 un opuscule judeophobe de quarante pages intitulé Notre combat contre tous les Juifs qui devint la référence majeure des islamistes de tous bords. En voici la teneur :

Les Juifs devinrent les ennemis de l’islam dès qu’un Etat islamique fut établi à Médine. Ils complotèrent contre la communauté musulmane dès que celle-ci fut créée [...]. Cette âpre guerre que les Juifs nous ont déclaré [...] dure sans interruption depuis quatorze siècles et enflamme, encore maintenant, la terre jusqu’en ses confins.

Il affirme également que les Juifs disposent d’une armée d’agents jusque dans les rangs des autorités religieuses islamiques; qu’ils sont à l’origine du matérialisme, de la “sexualité animale”, de la destruction de la famille et de la société (tous ceux qui connaissent un tant soit peu la culture hébraïque savent que la famille est la valeur fondamentale de la Torah ), qu’ils se sont opposés au “renouveau islamique” et sont à l’origine de la disparation du Califat . Sayyd Qutb conclut en se félicitant <<qu’Allah a envoyé Hitler pour punir les Juifs>>. Déjà , dans son ouvrage le plus célèbre , Jalons, il accusait les Juifs de pratiquer l’usure :

afin que toutes les richesses de l’humanité tombent aux mains de leurs institutions,

puis de “comploter” pour “infiltrer tous les rouages politiques et mettre en oeuvre leurs néfastes projets”. En 1964, son appel à la haine envers les Juifs fut réimprimé par Zayn al-Din al-Rakkabi, directeur de l’Imprimerie nationale saoudienne, qui y ajouta un commentaire en citant Les Protocoles des Sages de Sion comme “preuve de la véracité des accusations portées par Sayyd Qutb contre les Juifs ”. Aujourd’hui, le style des Protocoles des Sages de Sion est profondément ancré dans la mentalité et les représentations arabo-islamiques jusqu’aux plus prestigieuses sphères politico-religieuses. Ainsi, dans son ouvrage de référence, le cheikh Mohammed Tantaoui, ancien dirigeant suprême de l’université islamique sunnite, al-Azhar, au Caire, intitulé Le Peuple d‘Israël dans le coran et la sunna (1997), explique que :

Les Juifs étaient derrière la Révolution française et celle d’octobre. Qu’ils provoquèrent les deux Guerres mondiales. Qu’ils contrôlent l’économie et les médias mondiaux. Qu’ils cherchent à détruire la moralité et la religion, et à organiser la prostitution à travers le monde.

Tantaoui se félicite qu’

après la publication des Protocoles des Sages de Sion, quelque 10,000 juifs furent tués.

Il fait même référence, comme Qutb, à Men Kampf :

Si le juif, à l’aide de sa profession de foi marxiste, remporte la victoire sur les peuples de ce monde, son diadème sera la couronne mortuaire de l’humanité, alors la planète recommencera à parcourir l’éther comme elle l’a fait il y a des millions d’années : il n’y a plus d’homme à sa surface. La nature éternelle se venge impitoyablement quand on transgresse ses commandements. C’est pourquoi je crois agir selon l’esprit du Tout-Puissant, notre créateur.

Lors d’une intervention le 28 janvier 2009 sur la chaîne Al Jazeera, l’idéologue favori des Frères musulmans, l’égyptien Youssef al-Qaradawi

Ismaïl Haniyeh, le chef du Hamas, embrasse la main de Youssef al-Qradawi à son arrivé à Gaza

déclara dans son émission d’Al Jazeera, La charia et la vie :

à travers l’histoire, Allah a imposé aux Juifs des peuples voulant les punir de leur corruption. C’est Adolphe Hitler qui a infligé la dernière punition. Par tout ce qu’il leur a fait- même s’ils en ont exagéré l’importance-, il a réussi à les mettre à leur place. C’était une punition divine pour eux. Si Allah le veut, la prochaine sera administrée par les Croyants.

Dans la même émission, il expliquait, le 27 juin 2006, que

Les Juifs sont protégés par la lois, des lois qui protègent le sémitisme, de sorte que nul ne peut dire ne serait-ce qu’un mot sur le nombre de victimes du prétendu Génocide (Shoah). Personne ne peut le faire, même s’il s’agit un travail de maîtrise ou de doctorat et s’il en discute de manière scientifique. De telles affirmations ne sont pas acceptables. Lorsque Roger Garaudy a parlé de cela, il a été condamné à la prison, conformément à la loi.

Evidemment, comme absolument tout ce qui sort de la bouche d’un islamo-nazi, c’est faux. En effet, le chef terroriste islamo-nazi du Fatah (renommé “autorité palestinienne”), Mahmoud Abbas a écrit une thèse de “doctorat” parfaitement négationniste, voir le lien :

En octobre 2012, alors que les Frères musulmans avaient remporté les élections en Egypte après la chute de Moubarak (commanditée par Barak Hussein Obama), lors du “Printemps arabe”, le Guide suprême des Frères musulmans Mohammed Badie, expliquait, dans son cours hebdomadaire de charia, que :

Les Juifs ont dominé la terre, répandu la corruption dans le monde, versé le sang des fidèles et profané par leurs actions les Lieux saints [...]. Allah nous a avertis de la traîtrise des Juifs et leur rôle dangereux en provoquant des Guerres. La guerre au Soudan et la partition de ce pays sont l’oeuvre des Juifs comme l’est le conflit entre Ramallah et Gaza.

Mohammed Badie

Citons aussi un ouvrage parmi tant d’autres du prédicateur salafiste Zaghloul al-Najar, La Conspiration, traduit et publié par l’Arabie saoudite, disponible dans nombre de centres islamiques européens, notamment dans la mosquée de Nevers, et en vente sur Internet, qui explique :

Tout au long de l’histoire, l’humanité n’a connue de conspiration plus dangereuse, plus malicieuse, plus infâme, complotée malicieusement par les Juifs, exécutée par les puissances coloniales[...] Les Juifs représentent le filon de la mécréance dans le Monde [...]. En ayant recours à la falsification de la religion et de l’histoire, en inventant des mensonges contre Dieu, ses Anges, ses Livres, ses Prophètes et ses Messagers [...], ils rendent ainsi légitime le fait de tricher, tromper et trahir les autres, de voler leur biens, les agresser par tous les moyens [...], les Juifs sont bel et bien des gens sataniques [...]. Leurs complots contre l’humanité sont aussi anciens que le temps et aussi nombreux que les malheurs subis par l’humanité.

Ces constats de l’influence exogènes nazi sur le totalitarisme islamique explique, en plus de la source endogène chariatique, l’omniprésence de la judeophobie, de l’antisémitisme et de l’anti-sionisme dans les discours islamiques, qu’ils soient de la tendance pragmatique, comme les Frères musulmans en Europe ou djihadiste de Daesh. Ainsi, l’Imaginaire islamique du complot fusionné avec la culture européenne du complot juif ou “judeo-maçonnique” international. D’ou le succès des Protocoles des Sages de Sion dans le monde islamique. La synthèse a été achevée dans les années 1990 par les idéologues d’Al-Qaïda, Ben Laden et Zawahiri, créateurs en février 1998 du

Front islamique mondial pour le djihad contre les Juifs et les Croisés,

et bien sûr par Daesh de façon encore plus spectaculaire quand on sait la place centrale des théories du complot dans le processus de recrutement de l’Etat-islamique. Condamnée dans les démocraties occidentales (seulement en principe...), la judeophobie nazi est encouragée dans les pays arabo-musulmans depuis des décennies. La nazification des consciences collectives qu’elle a produite atteint son paroxysme dans l’ “islamisme radical” qui n’est en réalité que la pratique de l’islam d’origine, l’islam wahhabite institutionnel. La judeophobie et conspirationnisme, hérités de l’alliance entre le Croissant islamique et la Croix gammées nazie, ont été tellement banalisés en terre islamisée qu’ils sont devenus des vecteurs majeurs de mobilisation et d’embrigadement des terroristes-djihadistes dans le monde, du Hamas à Daesh en passant par le Fatah (rebaptisée “autorité palestinienne” ), le Hezbollah, ou Al-Qaïda, ces derniers ayant porté à leur comble l’aspiration génocidaire, à la différence près que pour l’islam, le juif n’est qu’une composante d’un vaste ensemble démoniaque mécréant qui inclut l’ensemble du monde “non croyant”et spécialement les Hébreux et leur Etat Israël, l’Occident chrétien et en gros tout ce qui n’est pas eux, qu’il conviendra tôt ou tard de soumettre et d’éliminer.

Deuxième partie :

Nous voici à présent dans la seconde partie de cet article, dans la première partie nous avons vus, entre autres, comment le négationnisme islamo-nazi entrait en contradiction direct avec les fondements de la civilisation arabo-musulmane, notamment grâce au lien vers l’article le peuple imaginaire, nous allons maintenant nous intéresser à tous ceux géo-civilisationnellement situés en Occident qui emploient les termes “palestine” ou “palestiniens”.

Le “peuple palestinien” fut inventé afin de délégitimer les Hébreux, de retour sur leur Terre, de décourager l’Alyah en falsifiant l’Histoire et en faisant croire à un peuple présent depuis toujours sur place et en présentant les Hébreux comme les pilleurs de leurs propres terres et comme des monstres responsables de tous les maux de l’Univers, tel que nous l’avons vu précédemment dans la propagande nazi puis maintenant islamique. Ainsi, en supposant que la thèse “palestinienne” soit authentique, les Juifs proviennent d’ailleurs et ne sont rien de plus qu’un groupe religieux conspirationniste qui projettent de dominer le monde par la terreur (!), cela me rappel une certaine religion..., alors Jésus qui était juif est soit un menteur, soit un mensonge soit un horrible voleur de terres “palestiniennes”. En falsifiant l’Histoire, les Occidentaux remettent en question les fondements même de leur civilisation judeo-chrétien et greco-romaine. C’est d’ailleurs précisément ce qu’il se passe à chaque fois qu’un français, un italien, un portugais, un espagnol, un anglais etc... utilise le mot “palestine ” ou “palestiniens”, il remet en question toute l’histoire de sa propre civilisation.

En effet, même en se référant aux écrits chrétiens, fondamentaux de la culture des peuples européens , nous voyons clairement le paradoxe entre la fiction “palestinienne” et la réalité géo-civilisationnelle occidentale:

Jésus entra dans la cour du Temple. Il en chassa tous les marchands, ainsi que leurs clients. Il renversa les comptoirs des changeurs d'argent, ainsi que les chaises des marchands de pigeons, et il leur dit : Il est écrit : "On appellera ma maison une maison de prière, mais vous, vous en faites un repaire de brigands.

Mais, de quel Temple situé à Jérusalem parle donc les fondateurs du christianisme ? (qui étaient en passant tous israéliens !)

Yirmiyahou (Jeremi) 33:25-26

Ainsi parle le Seigneur: Si mon pacte avec le jour et la nuit pouvait ne plus subsister, si je cessais de fixer des lois au ciel et à la terre,alors seulement je pourrais repousser la postérité de Jacob et de mon serviteur David, en n'y prenant pas de princes pour régner sur les enfants d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, quand je les aurai ramenés de l'exil et pris en pitié.

A chaque fois qu’un occidental s’en prend à Israël sur un point de vue géo-civilisationnelle (la politique est toujours discutable), il se suicide sur un point de vue civilisationnelle, et dans le contexte actuel, plus les français (par exemple) parlent de “palestiniens”, de “palestine” ou se montre hostile au Sionisme, plus c’est lui-même qui se détruit et il accélère l’islamisation de sa propre Nation... Les musulmans ont raison de pensé que le Sionisme est contradictoire par rapport à la charia, le Sionisme à pour objectif fondamental de libérer tous les peuples et leur permettre enfin de s’épanouir avec leur propre identité nationale, sur leur territoire national. Le Sionisme préconise que chaque peuple puisse bénéficier du développement de sa propre culture et ensuite pouvoir, dans une coopération mondiale, dans le respect et la préservation des différences entre les peuples, la bio-diversité humaine, en faire bénéficier le Monde entier. c’est précisément ce que fait tous les jours Israël, dans un premier temps retrouver sa souveraineté sur son territoire national ancestral grâce à son Identité Nationale (c’est que tous les peuples devrait faire) et dans un second temps permet à toutes les Nations de profiter de ses connaissances :


L’un des commandements de la Torah est le “Tikoun Olam”, soi, “la réparation du Monde”. Le but n’est pas de “convertir” tout le monde au “judaïsme”, car les Juifs ne constituent pas un groupe religieux mais bien un peuple, d’ailleurs c’est bien un peuple et non une religion que Le Créateur choisit pour guider les Nations et c’est parfaitement logique car l’idée même de religion est antinationale. Deutéronome 7:6

Car tu es un peuple saint, consacre à l’Éternel, ton Dieu; l’Éternel, ton Dieu, t'a choisi, afin que tu sois pour lui un peuple qui lui appartienne en propre, d'entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre.

Bien au contraire, le but est l’épanouissement local de chaque identité nationale, car chaque peuple a quelque chose de bon à apporter au projet divin, mais encore faut il que les peuples gardent et protègent leur identité nationale unique !

Pour nos amis chrétien, Jean 4:22

Vous adorez ce que vous ne connaissez pas; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs.

Pour les musulmans qui oseront lire cet article, je réitère “

coran chapitre 104, verset 17

Et après lui, Nous dîmes aux Enfants d’Israël: «Habitez la terre». Puis, lorsque viendra la promesse de la (vie) dernière, Nous vous ferons venir en foule.

coran, chapitre 5 verset 21 :

Ô mon peuple! Entrez dans la terre sainte qu’Allah vous a prescrite. Et ne revenez point sur vos pas(en refusant de combattre) car vous retourneriez perdants.

Donc, à la lumière des preuves apportée dans cette partie de l’article, tant dans la Torah qui est le fondement des cultures et civilisation Occidentales et islamique, la bible chrétienne, ou le coran , il devient clair que tout comportement anti-sioniste nuirait inéluctablement à ceux-la même qui s’en accoutumeraient.

Conclusion :

La meilleure façon pour les peuples de se rattacher à leur propre culture est de renouer avec Israël et son peuple, renouer avec l’histoire, prendre exemple sur Israël et reproduire ses idées chez vous. Je met à votre disposition le lien vers un article qui démontre plus en profondeur les corrélations entre le bien-être d’Israël et celui de toutes le Nations : https://www.facebook.com/notes/yashar-%C3%ABl-%D7%99%D7%95%D7%94%D7%9F-%D7%A9%D7%9E%D7%95%D7%90%D7%9C-%D7%9E%D7%99%D7%9E%D7%95%D7%A0%D7%99/pourquoi-israel-ne-se-debarasse-pas-du-mal-une-fois-pour-toute-/911056239033309/

Source principale : A.D (les vrais ennemis de l’Occident)

יוהן שמואל מימוני

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