Gueoula

A vous, humbles, voici venue le temps de votre délivrance !

Cet article ne sera pas tout à fait comme les autres, il ira plus loin dans l’analyse mais aussi, nous explorerons un futur plausible à l’aide de supputations qui pourraient en surprendre plus d’un.

Nous voici à la veille de Pessa’h, une question se pose, quel est donc le sens profond de cette commémoration multimillénaire ?

Pourquoi Pessa’h revêt une importance capitale bien plus pour les Goyim, Peuples-Familles de la Terre, que pour le seul Peuple d’Israël qui se voit commémorer sa naissance, racine de son existence.

Contextualisation :

Comme vous le savez sans-doute, la Torah ne constitue pas un livre d’histoire au sens commun du terme, par exemple, les évènements n’y apparaissent pas forcement dans leur ordre chronologique, il y a donc, codé à l’intérieur du texte de très nombreux secrets qui, une fois décodés, nous permettent d’y voir bien plus clair dans ce monde abscons.

Les noms que donnent la Torah reflètent en réalité les rôles profonds des protagonistes, ainsi, Moshe signifie « celui qui tend le bras afin de récupérer quelqu’un (ou quelque chose) se trouvant très loin ».

Les noms des villes et des pays aussi peut-être décrypter via les clefs de compréhensions de la Kabbalah.

Ainsi, le pays d’Égypte se dit « Mitsraym » en Langue Sainte.

Décryptage du nom Mitsraym :

Ce nom constitue une idée, un concept, une idéologie.

Ce mot peut se fractionner en deux partie, une linguistique et l’autre mathématique.

L’aspect linguistique :

Metser : une prison exigüe, une geôle, un cachot, un endroit si limité que même les rêves y sont étroits.

L’aspect mathématique :

La valeur numérique de la seconde partie du nom Mitsraym, (yam), est = 50.

50 définie, dans la Kabbalah, l’idée de l’infini.

Fin de décryptage :

Mitsraym constitue l’idéologie qui limite, le paradigme qui nous enferme dans une étroite prison

mentale afin de nous réduire dans un esclavage si sournois et obscur que nous ne nous en rendons même plus compte.

Pitom = pi teom -> l’abysse par la bouche, ou la force de détruire par la parole.

Ramsess = ra missim -> la mort par l’impôt.

L’idée de l’exil dans la Torah aussi diffère de la compréhension que la majorité en a aujourd’hui.

L’exil n’est pas seulement le fait de se retrouver loin de chez soi, c’est en réalité le fait de se trouver dépendant d’un autre que Le Créateur !

Ainsi, toutes les religions, alors qu’elles prétendent nous libérer, nous réduisent inévitablement à l’état d’esclaves…

Prélude :

Nous voilà il y a ~3600 ans en Egypte.

Nous ne sommes pas entrés en servitude en un instant, vivant en Égypte de l’époque, une société multiculturelle définie par une multitude d’étrangers venues de divers horizons, arrivés en Égypte, pour pléthore de raisons toutes aussi discutables les unes que les autres.

Une société dans laquelle l’assimilation est puissante et ou les idolâtries pullulent ; perpétuellement plus nombreuses et perverses, elle détruit jusqu’à l’âme de ses serviteurs.

Les Enfants d’Israël vivaient, dans un premier temps, matériellement très bien en Égypte.

Puis, leurs voisins leurs demandèrent courtoisement de les aider dans leurs taches quotidiennes, car, après tout, ils font partie de ce pays, ils sont égyptiens eux-aussi (négation des différences nationales).

Evidement les Enfants d’Israël acceptèrent et petit a petit les besognes d’ordre publique, puis en fin de compte, ils furent réduits en esclavage comme tous les autres peuples d’Égypte.

Plus les Hébreux s’efforcèrent de se conformer à la société, plus ils tombèrent dans l’esclavage le plus total.

Les maitres d’Israël nous enseignent qu’il n’y avait pas vraiment de gardes aux frontières, les véritables frontières étaient dans la tête des esclaves.

Et a l’époque tout comme aujourd’hui ;

Vous devez comprendre que la plupart des gens ne sont pas prêts à être libérés du système et beaucoup d’entre eux sont tellement inertes, si désespérément dépendants du système qu’ils vont se battre pour le protéger.

49-ème porte d’impureté :

Un axiome Toraïque connu nous enjoint à considérer la Torah tel un algorithme cyclique de nature a la fois récursif et itératif.

Cela signifie que les évènements se répètent de la même façon qu’une fonction récursive qui prendrait en paramètre dans une occurrence N le résultat de la sortie de la fonction pour N -1.

En clair, la Délivrance Finale s’effectuera sur le modèle de la Sortie d’Egypte.

Ainsi, lorsque nous en somme conscients, il n’est pas étonnant de constater l’état de délabrement des moeurs dans nos sociétés modernes, l’état d’anomie de celles-ci.

J’ignore si nous en sommes déjà à la 49-ème portes d’imputé, mais force est de constater que nous n’en sommes pas loin !

Lorsque j’écoute les athées, ces religieux bien déguisés, je me souviens du culte de cette chose, création humaine sans réelle valeur, qu’ils adoubent et à laquelle ils se soumettent, un véritable culte.

La religion de l’argent nous aura, pour un temps, tous réduit à la servitude la plus abjecte.

1/60-ème :

Comme nous l’enseignent les maitres d’Israël :

Le sommeil constitue 1/60-ème de la mort.

Le rêve constitue 1/60-ème de la prophétie.

Les dix plaies d’Égypte constituent 1/60-ème de la Délivrance Finale.

Pourquoi Pessa’h ?

Dans la panoplie d’idoles auxquelles les Égyptiens vouaient un culte, il y en avait une particulière.

Toutes les idolâtrie, religions ou systèmes d’exploitation de masse proviennent de la même source, la seule et unique véritable force du Mal, l’Orgueil !

Ainsi, chaque religion dans le monde, chaque système d’exploitation de masse, hormis le but politique qu’elle véhicule, provient et constitue une projection de l’un des multiples aspects de l’orgueil humain.

L’idole qui nous intéresse dans cette analyse est celle du mouton.

Vous n’êtes pas sans savoir que les Égyptiens avaient une horreur viscérale des bergers ;

Savez-vous pourquoi ?

Il était dangereux dans une société basée sur la soumission et la dépendance à l’Etat de voir de simples humains devenir le maitre d’autre créatures, ce privilège n’incombait qu’aux maitres du système qui eux se prenaient pour les bergers des Peuples, tout comme aujourd’hui.

D’ailleurs, je vous propose de vous renseigner sur la quantité de bergers et éleveurs qui se suicident chaque année, ceux-là même qui nous nourrissent constituent la proie principale du système anthropophage dans lequel nous survivons.

Bah oui, le système ne veut absolument pas que nous nous rendions compte que nous n’avons pas besoin de lui, c’est lui qui a besoin de nous pour exister…

Nous sommes donc les artisans de notre propre servitude !

Le 13 du mois de Nissan (donc aujourd’hui), les Hébreux prirent, chaque famille, un mouton, l’idole égyptienne de la soumission a l’Etat, et l’attachèrent à leur lit afin que tous les égyptiens puissent entendre leur idole bêler bêtement.

Imaginez-vous le courage des Hébreux, esclaves depuis 210 ans, mettre à mal en public le symbole même de la société égyptienne !

Le 15 Nissan, demain soir, les Hébreux égorgèrent le mouton, force de la soumission, qui était en eux afin de se libérer su système dans lequel ils n’étaient rien de plus qu’une pièce remplaçable a souhait dans un système froid et dépourvu de valeurs.

Ainsi, libérés de leur orgueil, libérés du conformisme, de leur soumission au système, les Hébreux purent sortir d’Egypte en Peuple libre !

Kabbalah :

Le Créateur usa de dix forces afin de créer son monde, représentées par dix sephirot.

Le système Mitsraym pervertit ces forces et les détourna pour son profit personnel, au service de son propre orgueil.

Ainsi, tout comme dans un programme informatique, apres un piratage, il nous faut réécrire le code et définir une autre réalité.

Dix plaies d’Égypte viennent détruire complètement le système en détruisant l’écorce d’impureté qui était sur les Sephirot corrompues et les Dix Commandements viennent redéfinir un nouveau paradigme.

Aujourd’hui :

Nous voilà enfin arrives au sujet principal de cet article.

Si Le Créateur a libéré le Peuple d’Israël et leur a donner la Torah, ce n’est qu’afin que les autres peuples prennent conscience qu’il est possible de se libérer du système, de vivre libre, de changer radicalement de réalité.

Chaque année, les lumières de la délivrance descendent et permettent ceux qui les utilisent de se libérer du système.

Ainsi, même si demain soir seuls les Enfants d’Israël fêteront la commémoration de leur libération, viendra un jour, très vite je l’espère, ou toutes les Nations célèbreront Pessa’h, les Peuples célèbreront alors leur propre libération.

La seule façon de se libérer n’est pas simple, il vous faudra hacker le système !

Mettre en action votre confiance envers Le Créateur, Il est Le seul qui ne souhaite pas nous dominer, Il est le seul à nous proposer un réel partenariat !

Les supputations :

Projetons-nous donc un instant dans le futur, celui que j’imagine si souvent.

Et si le Mashia’h était un hacker, l’un de ces génies de l’informatique et des mathématiques ?

Et si le Mashia’h utilisait les forces du système contre le système ?

Et si le Mashia’h était celui qui écrira un virus informatique tellement apocalyptique qu’il serait capable de mettre a mal toutes les limites de notre existence ?

Ce pseudo-code pénètre toutes les banques du monde, tous les comptes de tous les clients et y injecte un montant aléatoire, strictement supérieur a un milliard de dollars, tous les 8 millisecondes.

Ainsi, l’outil principal qui permet notre servitude disparaitra.

Si tout le monde dispose d’une somme illimitée d’argent, celle-ci perd toute sa force et revient à sa véritable valeur, rien du tout.

Cette brisure du système est irréparable, car un esclave qui a gouté à la liberté, même un seul instant, refusera un nouvel asservissement.

Selon une rumeur plutôt bien fondée, Yonathan Pollard et sa femme Esther serait susceptibles de rentrer en Israël durant ce Pessa’h.

Yonathan Pollard est parfaitement capable d’une telle prouesse algorithmique…

Peu m’importe qui est le Mashia’h, puisse t’il se dévoiler vite et que l’année prochaine toute la création puisse fêter sa libération !

‘Hag Pessa'h Samea’h veCasher a tous, Yasharel.