Resultats du "progressisme" dans Tsahal

Les officiers de réserve mettent en garde contre le désastre de la prochaine guerre: "Pas de formation et pas d'argent" Après les remarques du chef d'état-major sur l'état des réserves publiées à Mako, des dizaines d'officiers révèlent la profondeur de la crise: «Nous avons demandé une formation et Ogdoner a dit qu'il n'y avait aucun moyen de payer. Ils repartent avec 10 chars et demi et restent bloqués sur le chemin, tirant des obus uniquement parce que c'est moins cher que de détruire. »L'IDF a répondu:

Un document interne publié à Mako déclare que le chef d'état-major prévient qu'une guerre sans réserve ne peut être gagnée et met en garde contre une grave crise de confiance avec les militaires dans la res, ainsi que le fait qu'ils ne sont pas assez formés, fait sensation parmi les officiers de réserve.

Depuis la publication, plus de 30 officiers de réserve - bataillons, lieutenants, officiers des opérations et plus - se sont tous approchés du système, tous avec le même message: si l'armée ne laisse pas les beaux mots et ne commence pas à s'attaquer aux problèmes, la prochaine guerre sera un désastre lourd pour l'État d'Israël.

Un commandant de compagnie vétéran dans l'armure s'est référé au document signé par le général de brigade Gal Shohami, commandant de la 319e division, et a dit: «Déjà quand vous lisez le début de ce document, vous comprenez dans quelle déconnexion ils se trouvent. Ils parlent de reconnaissance dans le cadre du processus de réhabilitation de la situation, toutes sortes de choses comme ça. connerie. Quelqu'un pense que je suis intéressé par une carte de salut ou un jour d'appréciation? Le document devait être ouvert et axé sur une seule chose, la formation et plus de formation. C'est ce qui nous maintiendra en vie. "

(Document de synthèse évaluant la situation dirigé par le chef de cabinet) Un autre officier a déclaré: «Nous avions l'habitude de soulever des critiques dans les chambres pour ne pas porter atteinte à la dignité des commandants supérieurs que nous apprécions beaucoup. Mais la situation de la formation de réserve n'est pas grave mais catatonique. C'est ainsi que depuis 2003, la formation n'est pas la chose la plus importante. "Dans l'armée et depuis lors, la situation n'a fait que se détériorer." «Ce ne sont pas que de la formation», ajoute le même officier. «Lorsque nous construisons un plan d'efficacité ou un plan opérationnel, nous n'existons pas, même si les connaissances sont avec nous. connaissance".

"Nous supplions de venir et ils ne veulent pas"

Un autre officier de réserve aborde un problème au niveau des effectifs. « Ils comptent trop sur l'armée régulière même s'ils ne parviennent pas à garder les bons pendant longtemps. Les gens ne veulent pas rester dans le système à cause de la situation. Le chef d'état-major devrait-il les forcer à lire la littérature militaire ? En tant que jeune officier, j'ai lu tous les livres militaires qui sont tombés entre mes mains, et ils ne savent même pas ce qui s'est passé au Mur défensif. L'armée de réserve préserve le savoir et ne l'utilise pas du tout. Nous supplions de venir et ils ne veulent pas. "

Il a dit que pendant les jours de combats à Gaza il y a environ deux ans, lui et ses amis avaient demandé à venir aider, même sans payer les jours de réserve. « Nous étions là et nous savions quoi faire, laissez-nous venir. S'ils nous ont traités du tout, c'était pour dire non, merci beaucoup. Même dans les leçons apprises, ils ne nous ont pas partagés. Aujourd'hui, je ne connais pas la moitié de l'armée et je ne parle pas leur langue. En guerre, on s'attend à ce que nous passions. Directement de zéro à cent. "

Il est clair pour Tsahal que les forces régulières ne pourront pas à elles seules décider de la prochaine guerre et que la meilleure force aérienne du monde n'améliorera pas non plus la situation. "Cette idée fausse a conduit à une réduction de l'armée de terre en réserve et à trop compter sur l'armée de l'air."

Selon l'officier supérieur, lui et ses amis mettent en garde à ce sujet mais ne voient aucun changement. "Nous expliquons et demandons à nous entraîner correctement, mais ne nous écoutons pas. Que ferons-nous, nous arrêterons de venir dans la réserve ? Cela n'aidera pas même si nous sommes très frustrés. Nous inondons les choses mais ne nous entendons pas."

La même source prévient : "Nous nous sommes retrouvés dans une très mauvaise situation et nous le disons probablement trop poliment. Nous demandons à venir à la division autant que possible, mais alors l'Ogdoner dit:" Je comprends mais je n'ai pas d'argent pour payer les jours de réserve. "Alors, que puis-je lui dire? Le débat est terminé. "

Ce n'est que ces derniers jours que l'on a signalé que les FDI annulaient un vaste exercice impliquant des forces de réserve pour des raisons budgétaires. Le document d'évaluation de la situation dirigé par le chef d'état-major indique explicitement que la réserve devrait être formée, également au détriment des achats et des armements, mais les officiers de réserve sont sceptiques.

«Au niveau de l'entraînement auquel je suis aujourd'hui», déclare un commandant de bataillon avec qui nous avons parlé, «je sais que je ne pourrai pas respecter le calendrier de mission que je recevrai pendant la guerre et je dis sans équivoque que j'en ferai des dizaines de morts, simplement à cause du mauvais état de la formation et de l'équipement.

Le même officier continue avec les choses sérieuses dites du fond du cœur et ajoute: "Moi et mes commandants, sans parler des soldats, ne savons pas faire des actions même simples comme l'atterrissage d'un hélicoptère. La dernière fois que j'ai vraiment pratiqué l'atterrissage d'un hélicoptère, c'était dans la zone de 2011. Il y a eu un sauvetage. " Un RPG blindé avec lequel nous nous sommes entretenus a été surpris quand il a déclaré: «En fait, nous nous entraînons beaucoup et tirons beaucoup d'obus. Alors, où est le problème? «Nous avons le char le plus ancien, un char Mark 2 avec des obus de 105 mm, il est donc moins coûteux de les abattre que de les détruire.

Selon le lieutenant-colonel, ce n'est que parce que le coût de leurs chars est bon marché qu'ils sont envoyés à de nombreux entraînements avec des forces d'infanterie régulières. « Le problème est que je sors avec dix chars et à cause de leur état, la moitié reste coincé sur la route. L'infanterie voit cela à chaque entraînement et ne nous fait pas confiance. C'est une chaîne auto-alimentée. "

Le même officier donne un exemple de scénario qui pourrait se réaliser en temps de guerre. "Un char dans un tel état mécanique pourrait rester coincé au cœur de Gaza ou même sur le chemin et nous savons que les terroristes peuvent être rencontrés avant Gaza. Cela pourrait coûter la vie aux gens."

"Au niveau de l'entraînement dans lequel je suis actuellement, je ne pourrai pas respecter le programme de mission que je recevrai pendant la guerre et je dis sans équivoque que j'en ferai des dizaines de morts, simplement à cause du mauvais état de l'entraînement et de l'équipement." Bataillon de réserve

Un autre commandant de bataillon en réserve fait également des remarques sérieuses : «Notre crise de confiance dans l'armée est aujourd'hui la plus grave. Notre confiance en eux et la leur en nous. Nous sommes coupés, fermés et séchés, et nous pensons que dans la prochaine guerre, tout s'arrangera. " Il a également donné un exemple douloureux de la situation à laquelle il est confronté dans son cadre: «Ils m'ont emmené beaucoup de combattants pour toutes sortes de cadres peu clairs, par exemple les réserves de MDA. D'un autre côté, ils m'envoient des combattants qui ont terminé l'entraînement et la formation avancée et qui sont ensuite passés à servir dans toutes sortes de rôles. Soudain, ils redeviennent réservistes et ne sont pas encore formés. Que pensez-vous qu'il leur arrivera exactement pendant la guerre ? "

Des choses similaires ont été dites par un commandant de compagnie dans l'armure. «J'ai des soldats qui ont été entraînés sur un char puis convertis en infanterie à l'aide de blindés. Maintenant, remettez-les en réserve sur un char sans heures d'entraînement. Ils me disent eux-mêmes d'écouter, je ne sais pas quoi faire. "

"Notre crise de confiance dans l'armée est aujourd'hui la plus grave. Nous n'avons aucune confiance en eux et en nous. Ils nous coupent, nous ferment et nous assèchent et pensent que dans la prochaine guerre, tout s'arrangera." Bataillon de réserve

L'un des officiers de réserve a conclu avec inquiétude : "Nous sommes une armée de type B qui est censée travailler avec l'armée A, mais ils ont une formation différente, un équipement différent et une langue différente du nôtre. Cela produit une énorme quantité de problèmes et de problèmes." Le même officier met en garde contre les conséquences de la poursuite de la situation : « Dans la prochaine guerre, des quantités de missiles tomberont ici et l'armée ne l'arrêtera pas car il nous faudra du temps pour terminer la mission, nous aurons de nombreuses victimes sans armes car nous ne sommes pas formés. Ses belles paroles, n'y faites rien. "

Le porte-parole de Tsahal a répondu :

"Tsahal voit une grande importance dans le maintien de la compétence des forces de réserve en tant qu'élément clé des capacités de Tsahal dans les situations de routine et d'urgence. Moyens d'action pour renforcer la formation en 2021. Au cours de la discussion, le commandant de l'armée terrestre a présenté un travail d'état-major approfondi, qui comprend des méthodes modernes d'entraînement et la préparation des forces de réserve à la guerre, en mettant l'accent sur des méthodes d'entraînement innovantes pour 2021. En outre, L'importance de la médiation des décisions prises auprès des réservistes et des commandants, dans la coordination des attentes, en tenant compte du temps du serviteur, en adaptant la formation au mode de vie du réserviste et en créant un environnement respectueux qui mènera à la concentration et à l'efficacité de la formation a été soulignée. Surtout, le résumé qui apparaît dans l'article n'est pas le résumé de la discussion officielle. Le chef d'état-major a reçu les recommandations du commandant de l'armée de terre et chargé de poursuivre la phase de planification des travaux d'état-major d'une manière accélérée. "

La grande religion du « progressisme-mondialisme » du monstrueux George Soros a finalement (déjà depuis presque 20 ans) les têtes « pensantes » de Tsahal. 

En opposition totale avec les valeurs ancestrales du Peuple d’Israël, les dirigeants des instances juridique du pays, main dans la main avec celle de l’armée, n’ont cesse de détruire l’héritage culturel d’Israël, ils s’en prennent en même temps à l’intégrité des capacités de Tsahal à protéger le Peuple !

Aucun homme ne souhaite se marier avec « un général » l’une de ces filles qui se sont engagée dans des rôles inappropriés et (lorsqu’elles ne sont pas devenues lesbiennes) deviennent plus dures que le métal. Si la femme n’est plus là pour apporter à l’homme de la douceur, elle perd une partie majeure de son rôle de femme.

Après la désastreuse tentative de placer des femmes dans la corp de la Cavalerie (les blindés), Tsahal se pose la question de savoir si ce serait judicieux de placer les femmes également dans les unités les plus difficiles d’accès de Tsahal.

Aucune des filles, qui avaient pourtant été triées minutieusement, n’a réussie as passer les testes opérationnels minimums de la corp des blindés, aucune !

Quel rapport avec notre sujet initial ?

Afin de créer de nombreuses nouvelles unités « combattantes », l’armée a dépenser sans compter dans la construction de bases séparées garçons/filles, équiper ces unités avec les meilleurs équipements d’on dispose l’infanterie, gaspiller une quantité scandaleuse de ressources pour des projets stupides voués dès le départ à l’échec.

Tout ce gaspillage entraine une situation dans laquelle les réservistes de Tsahal, les plus expérimentés de tous les soldats de Tsahal, n’ont plus d’entrainements, plus d’équipement digne de ce nom, plus de confiance au système. Les réservistes sont ceux qui sortent de leur maison, de leur famille, femme, enfants… pour protéger le pays et son peuple en première ligne dans toutes les guerres.

Ce gaspillage en devient de facto monstrueux et peut-être même criminel.

Les femmes ne sont pas moins « bien » que les hommes, elles sont simplement différentes.

Il existe de très nombreux rôles ou les femmes sont bien plus performantes que les hommes, un exemple : les observatrices de Tsahal ont un rôle vital pour le pays, elles sauvent tous les jours des vies en prévenant d’attentats et autres attaques. Je ne connais aucun homme capable de fixer un écran durant plus de 10 heures d’affiler en se concentrant sur chaque détail du paysage, les femmes en sont capables.

Il est grand-temps de remettre de l’ordre dans ce chaos « progressiste » et revenir a nos origines culturelle, celles de la Torah d’Israël.